La matinée commence tôt par l’installation des chaudières à l’extérieur et de la mise en chauffe
A l’intérieur, la préparation des ingrédients secrets qui compose la recette artisanale du boudin des chignoles s’active.
On peut seulement dire que cette année, il y a moins de pomme qu’en 2016.
Autre secret, celui de l’épluchage des oignons sans verser une seule larme.
Viens ensuite la partie technique, l’embossage dans les boyaux de porc. Tout est assuré par les chignoles afin d’assurer un produit gouteux et de qualité.
La cuisson s’enchaîne au fur et à mesure que l’embossage progresse.
Il faut contrôler la température et la bonne cuisson du boudin.
Enfin, le moment convivial que tout le monde attend, la dégustation du boudin avec le petit verre pris à la buvette.
La récompense du travail accompli et l’assurance que l’on recommencera l’an prochain.
Tout le monde est d’accord, il est meilleur que l’an dernier.
Tout a été vendu très rapidement et les retardataires n’ont pas pu être servis.
